Passons et naviguons dans les eaux moins troubles des "structures de correction" de l 'étage Q (Qualité/Quantité) ( lien vers la page 4 étage Q )
Une exposition à la Statengalerie à la Haye aux Pays-Bas en octobre 1996. Une présentation un peu fourre tout. La Salle de Réunion, le |
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L'image est intéressante, la réalisation laisse à désirer. La TGAD se laisse prendre dans ses propres tentacules. Au fur et à mesure de son développement et de sa réalisation, elle se complexifie et rate, de temps en temps, ses performances et crée des images compliquées et faibles.
Est- ce qu' elle n'a pas les moyens de gérer sa croissance ou est- ce qu'elle ne s'en donne pas le temps? Est -ce que son propre consensus la tue, ou est- ce qu'elle se fait prendre dans sa propre administration (gestion)? Il est vrai qu'il faudrait radicaliser, ses moyens et ses expressions ou se donner des moyens pour faire face à sa croissance.
Critiquez - nous et écrivez à critique@tgad.com. Et comme, si lorsque l'on arrive de plus en plus près de l'année 1998, il nous manque de plus en plus de distance de jugement, terminons en description.
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L'autre structure de correction, "Le pare-soleil" a été exposé par la Statengalerie pour la première fois à la foire d'Art Contemporain d'Amsterdam puis dans ses propres locaux à la Haye et ensuite à la Foire d'Art Contemporain de Cologne, également encore dans une manifestation Art & Politique, orchestrée par Véronique Pattegay, dans la banlieue parisienne à Brice sous Forêts à côté de Sarcelle. | |
![]() Cette structure a été développée avec la double vocation de corriger les espaces de bureau de la TGAD trop exposés au soleil et de rendre le rangement plus confortable. |
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