L'Histoire de la TGAD

C'est sur le site de l'ancienne usine "bateau" de Renault, sur l'île Seguin, que la Très Grande Administration Démocratique a vu le jour.

Au fur et à mesure, depuis 1993, la construction du bâtiment qui ressemble à une immense horloge, trouve sa forme et sa fonction définitive à travers différentes expositions, publications et actions.
Au départ l'idée est de marquer le sud de Paris avec le dernier des Grands Travaux. Après la Bibliothèque Nationale de France, l'Opéra Bastille, le Nouveau Louvre et le Parc André Citroën, la Très Grande Administration Démocratique a vu le jour. Cette administration est en quelque sorte une méta-structure, une machine célibataire, qui s'occupe d'elle même et de l'administration en général. Un peu comme la police de la police s'occupe de la police, la TGAD s'occupe de l'administration.
Des noms tels que : le Conseil supérieur de l'administration auraient pu être choisis mais il n'en a pas été ainsi.

Démocratique, douze lettres pour douze étages dont seulement une lettre en double le "e" (mais é et e sont-ils réellement identiques?) ont donné lieu à la forme et à la fonction ( Lien vers liste de diffusion 4 justification de l'oeuvre ) du bâtiment.

Les travaux ont commencé à la Villa Arson à Nice en 1993 où
Niek van de Steeg a eu une résidence d'artiste.

Ala suite de ses travaux sur Le Pavillon à Vent et de son exposition sur le Manège des Douze,un des huit containers de ce bâtiment en mouvement a été affecté pour contenir le développement ( en quelque sorte une exposition) de la TGAD. Au lieu de construire le container du Pavillon à Vent avec ses véritables matériaux, il a été décidé de l'interpréter, quand même , en grandeur nature, en carton d'emballage récupéré.
Au début, et montrés dans l'exposition "Les mystères de l'auberge espagnole" à la Villa Arson, ont été construits les quatre premiers panneaux.

Vue sur une maquette grandeur nature d'un fragment du container du "Pavillon à Vent", librement interprété en carton ondulé récupéré dans différents centres de distribution à côté de la Villa Arson.
Il s'agit de quatre panneaux montés les uns sur les autres à l'aide d'un système "lowtech" et de quatre images différentes à l'intérieur.
Le panneau du bas, la fondation de la construction , est constitué d'emballages de pièces détachées pour les voitures Renault, sur lequel est montée une plaque en laiton annonçant la pose du premier panneau de la TGAD.

Ensuite, un panneau constitué d'emballages pour les bouteilles de champagne sur lequel on trouve la première image du bâtiment, tracée dans une matière composite de construction du dallage du parvis de la TGAD. (Il est prévu de broyer les bâtiments existants des usines Renault sur l'île pour composer une pierre agglomérée.
Le troisième panneau est fabriqué à partir d' emballages en cartons de différents apéritifs avec au dos une maquette du site de Boulogne Billancourt, la Seine, le pont de Sèvres, la future station métro "TGAD " de la ligne RER C.
Et le dernier, entièrement fait avec des boîtes pour le pain de mie, affiche le logotype de la TGAD.


C'est sur le site de l'ancienne usine "bateau" de Renault, sur l'île Seguin, que la Très Grande Administration Démocratique a vu le jour.
Au fur et à mesure, depuis 1993, la construction du bâtiment qui ressemble à une immense horloge, trouve sa forme et sa fonction définitive à travers différentes expositions, publications et actions. Au départ l'idée est de marquer le sud de Paris avec le dernier des Grands Travaux. Après la Bibliothèque Nationale de France, l'Opéra Bastille, le Nouveau Louvre et le Parc André Citroën, la Très Grande Administration Démocratique a vu le jour. Cette administration est en quelque sorte une méta-structure, une machine célibataire, qui s'occupe d'elle même et de l'administration en général. Un peu comme la police de la police s'occupe de la police, la TGAD s'occupe de l'administration. Des noms tels que : le Conseil supérieur de l'administration auraient pu être choisis mais il n'en a pas été ainsi. Démocratique, douze lettres pour douze étages dont seulement une lettre en double le "e" (mais é et e sont-ils réellement identiques?) ont donné lieu à la forme et à la fonction ( Lien vers liste de diffusion 4 justification de l'oeuvre ) du bâtiment.

Les travaux ont commencé à la Villa Arson à Nice en 1993 où Niek van de Steeg a eu une résidence d'artiste.
Ala suite de ses travaux sur Le Pavillon à Vent et de son exposition sur le Manège des Douze,un des huit containers de ce bâtiment en mouvement a été affecté pour contenir le développement ( en quelque sorte une exposition) de la TGAD. Au lieu de construire le container du Pavillon à Vent avec ses véritables matériaux, il a été décidé de l'interpréter, quand même , en grandeur nature, en carton d'emballage récupéré. Au début, et montrés dans l'exposition "Les mystères de l'auberge espagnole" à la Villa Arson, ont été construits les quatre premiers panneaux.

Vue sur une maquette grandeur nature d'un fragment du container du "Pavillon à Vent", librement interprété en carton ondulé récupéré dans différents centres de distribution à côté de la Villa Arson. Il s'agit de quatre panneaux montés les uns sur les autres à l'aide d'un système "lowtech" et de quatre images différentes à l'intérieur. Le panneau du bas, la fondation de la construction , est constitué d'emballages de pièces détachées pour les voitures Renault, sur lequel est montée une plaque en laiton annonçant la pose du premier panneau de la TGAD. Ensuite, un panneau constitué d'emballages pour les bouteilles de champagne sur lequel on trouve la première image du bâtiment, tracée dans une matière composite de construction du dallage du parvis de la TGAD. (Il est prévu de broyer les bâtiments existants des usines Renault sur l'île pour composer une pierre agglomérée. Le troisième panneau est fabriqué à partir d' emballages en cartons de différents apéritifs avec au dos une maquette du site de Boulogne Billancourt, la Seine, le pont de Sèvres, la future station métro "TGAD " de la ligne RER C. Et le dernier, entièrement fait avec des boîtes pour le pain de mie, affiche le logotype de la TGAD.