L'histoire de la TGAD

En février 1994 dans le souci de pousser vers un réalisme accru, le premier prototype de la salle de Réunion de l'étage "I" (i) Information et Identité) (lien vers la page des étages) est réalisé et montré dans l'exposition "Bifurcation" à Meymac, Dole et Albi.(lien avec le texte de Sonia Criton, (plus tard sept 1998)).
Sur l'étage I "i" (lien page 4 Information et Identité) une salle d'information, une salle d'exposition, un lieu d' accueil et une salle de réunion sont prévus.
C'est dans cette dernière que l'on peut assister, entre autres, à la réunion des responsables des différents étages, qui se tiendra tous les lundi matins.

Le premier prototype de la salle de réunion de La Très Grande Administration Démocratique est une structure en tubes de PVC , soutenue par un axe central également en PVC. Dans cette structure une tente en PVC souple est suspendue , attachée à celle-ci par des ficelles.
Sur l'axe central est fixé une table ronde autour de laquelle sont positionnées douze chaises différentes. L'entrée se trouve sur l'un des douze cotés.
En 1995 le FRAC Poitou Charentes acquiert le premier prototype et le montre au Confort Moderne à Poitiers. Une photo-souvenir du comité d'administration du FRAC assis dans la salle de réunion, est publiée dans la revue "L'Actualité Poitou-Charentes"

Yannick Miloux, actuellement directeur du FRAC Rhône-Alpes publie un bon texte sur la TGAD et son auteur. (lien avec ce texte (plus tard sept 1998)).
Faut-il un deuxième prototype de la Salle de Réunion ? Une bonne question demande plusieurs réponses.
Avant tout il fallait répondre à quelques défauts constatés et testés lors des différentes présentations :

L'axe central de la salle de réunion, étant en pvc gris, empêchait la vue sur celui ou celle assis en face.
Dans son souci sans borne de la transparence la TGAD et son étage "Q" (lien page 4 Qualité/Quantité) ne pouvait accepter une telle lacune.
Le plafond au-dessus de la table, en pvc transparent souple, faisait dresser les cheveux de ses invités sur leurs têtes. Cette situation provoquée par l'ardeur du débat démocratique, n'engageait pas de problème à résoudre, mais l'électricité statique, en posait un de taille qu'il fallut résoudre.
Et finalement, une pièce (peut-on parler de l'œuvre) vendue est un prototype non-disponible pour l'expérimentation et l'essai (crash-test).


En février 1994 dans le souci de pousser vers un réalisme accru, le premier prototype de la salle de Réunion de l'étage "I" (i) Information et Identité) (lien vers la page des étages) est réalisé et montré dans l'exposition "Bifurcation" à Meymac, Dole et Albi.(lien avec le texte de Sonia Criton, (plus tard sept 1998)). Sur l'étage I "i" (lien page 4 Information et Identité) une salle d'information, une salle d'exposition, un lieu d' accueil et une salle de réunion sont prévus. C'est dans cette dernière que l'on peut assister, entre autres, à la réunion des responsables des différents étages, qui se tiendra tous les lundi matins.
Le premier prototype de la salle de réunion de La Très Grande Administration Démocratique est une structure en tubes de PVC , soutenue par un axe central également en PVC. Dans cette structure une tente en PVC souple est suspendue , attachée à celle-ci par des ficelles. Sur l'axe central est fixé une table ronde autour de laquelle sont positionnées douze chaises différentes. L'entrée se trouve sur l'un des douze cotés. En 1995 le FRAC Poitou Charentes acquiert le premier prototype et le montre au Confort Moderne à Poitiers. Une photo-souvenir du comité d'administration du FRAC assis dans la salle de réunion, est publiée dans la revue "L'Actualité Poitou-Charentes"
Yannick Miloux, actuellement directeur du FRAC Rhône-Alpes publie un bon texte sur la TGAD et son auteur. (lien avec ce texte (plus tard sept 1998)). Faut-il un deuxième prototype de la Salle de Réunion ? Une bonne question demande plusieurs réponses. Avant tout il fallait répondre à quelques défauts constatés et testés lors des différentes présentations : L'axe central de la salle de réunion, étant en pvc gris, empêchait la vue sur celui ou celle assis en face. Dans son souci sans borne de la transparence la TGAD et son étage "Q" (lien page 4 Qualité/Quantité) ne pouvait accepter une telle lacune. Le plafond au-dessus de la table, en pvc transparent souple, faisait dresser les cheveux de ses invités sur leurs têtes. Cette situation provoquée par l'ardeur du débat démocratique, n'engageait pas de problème à résoudre, mais l'électricité statique, en posait un de taille qu'il fallut résoudre. Et finalement, une pièce (peut-on parler de l'œuvre) vendue est un prototype non-disponible pour l'expérimentation et l'essai (crash-test).